La lettre que je lui es donné, avant qu'il vole vers les anges...
Grand-papa,
J'espère que tu vas un peu mieux qu'aux dernières nouvelles que j’ai eu de toi.
Il y a longtemps que j’avais envie de t'écrire et maintenant je le fais.
Je ressens un énorme besoin de t'écrire pour te dire ce que je ressens.
Tout d’abord, j’aurai jamais assez d’une vie te remercier de m’avoir apporter une mère en or et hors de l’ordinaire avec toutes les belles qualités et tout ce qui fait d'elle pour cette personne importante dans ma vie, maman. Elle aime bien son rôle de grand-maman, je crois fortement.
Tu sais, je culpabilise énormément et surtout ces temps-ci ou on se rends compte que la vie est précieuse et que je ne peux aller voir mes parents,mon frère, mes sœurs, ma famille. Je suis consciente de l'importance que tu as dans ma vie et je le sais parce que chaque fois que tu es près de moi, j'apprécie ces instants précieux. On ne sait pas souvent vue, alors, que ça aurait dû être le cas, dans le meilleur des mondes en fait pour moi. Ton sourire m’est contagieux chaque fois que je t’es vue. Tes bruits de canard gravés dans ma mémoire à tout jamais. J'espère que tu sais que tu es un combattant et un grand-père merveilleux à mes yeux. J’aurais quand même aimé passer plus de temps à faire des activités ou bien, juste plus de noël assis près de toi et Lise avec la fumé des bons repas et leurs bonnes senteurs. Je veux que tu saches que, je te porte chaque jours dans mon coeur et je pense tres souvent a toi et Lise, et j'espère que votre bonheur. Grand-p'pa ! Tu es chanceux d’avoir une femme comme Lise, elle es merveilleuse. Merci d'être celui que tu es, merci d'être là quand tu peux. J'espère te revoir et Lise très bientôt… Je vous envoie pleins de calins, bisous et n'oubliez pas qu’une petite Roxanne pense énormément a vous deux.
I L O V E Y O U
La lettre que j'ai donné a mon psy
Bonjour chère psychologue, travailleuse sociale, tous ceux qui lirons ceci.
J’ai 24 ans, 20 ans de souffrance intérieure, mal de vivre qui se détériore depuis mes 5 ans.
A 5 ans, on se perçoit pas le mal qu’on a notre petit cœur. Il y a maintenant 10 ans, j’avais à peine 14 ans, quand j’ai eu mon diagnostic de trouble de la personnalité limites. Je savais que j'étais atteinte de multiples blessures intérieures qui ont créé de moins bon comportements. Cette carence affective, c'est un besoin fondamental, que je n'ai pas eu. Pour faire courte histoire, ma mère m'as mis de coté, Mon père n'a pas tardé à se faire une copine, et cette copine est vite tombée enceinte de ma petite sœur. Dès la maternelle, j’ai eu de la difficulté à me faire des amis, j’ai vécu beaucoup d'intimidations et mes notes scolaires étaient de loin excellentes, ça m'a créé de l'anxiété et, l'anxiété m'a créé de la colère. Je me suis lancée dans de multiples relations souffrantes. j’etais incapable d’aimer sainement, j’avais extremement peur de decevoir. j’avais toujours un ressenti de culpabilité. Plus que je vieillis, plus j’ai mal intérieurement.
J’ai un sentiment de vide, Je suis souvent irrité,en colère; Le stress me rend impatient, tendu, agressif; Je vis beaucoup d’irritation lorsque je suis confronté au manque de respect; Je me sens souvent méfiant ou qu'on abuse de moi;J’ai d' la misère avec l’impuissance ou que je sens que je n’ai pas le contrôle.Je réagis vivement quand je perçois qu’on me critique,Je suis très sensible au sentiment d'abandon, de rejet. Il m’arrive continuellement de ruminer des pensées frustrantes.Je m’emporte facilement,Les gens semblent se méfier de moi, Je me chicane souvent avec mon conjoint, rarement, mon entourage.J’éprouve souvent des regrets d’avoir agi d’une façon inappropriée. J’évite des situations sociales afin de ne pas me "pogner" avec des gens. Je perds des emplois à cause de mon comportement / ma colère.
Je suis anxieuse, et je fais des crises de panique. Les ambulanciers sont déjà venus à la maison... j'ai eu la forte impression que j'allais mourir cette soirée-la. Mes mains tremblaient, mes mains, mes pieds étaient moites. J'ai eu des palpitations cardiaques…
J’ai besoin d’aide…
j’aimerais me sentir bien.
me sentir vivante, me sentir que j’ai droit de recevoir de l’amour et j’ai droit d’aimer aussi sainement. J’ai envie de rire et de sourire. J’ai envie de pleurer et de ressentir l’envie de vivre pleinement.
Une femme au sac a dos remplis..
Quêtes d'identités
J'ai été terrifier de communiquer avec les autres ; par peur de leurs réactions, leurs jugements.j'étais en quête d'identité.je suis maintenant dans la vingtaine j'arrive à décider et assumer, j'ai décidé la paix et la flamme en moi et la voix qui me disais que j'étais capable.On vit dans une génération où il y a beaucoup de jugements et d'incompréhensions. Sa touche plusieurs adolescents, plusieurs est causés dus à un extrême manque d'amour et de communications durant l'enfance ( très souvent de leurs parents) d’un manque de reconnaissance de vos qualités propres, de la pression à devoir répondre aux attentes de votre entourage. Cela a persisté durant l'adolescence, avec les amis, les enseignants, les proches qui nous a donné beaucoup de mal à nous comprendre nous-mêmes et même souvent adultes.Un conseil : trouvez le moyen d’affirmer vos goûts et vos affinités, sans craindre d’abîmer votre lien avec l’autre. Partagez vos joies comme vos peines avec ceux qui vous entourent, reconnaissez vos compétences et vos limites, apprenez à vous évaluer et à vous estimer. Prenez conscience que votre différence peut vous enrichir autant qu’enrichir la collectivité. Prenez le temps de vous comprendre, de savoir ce qui vous plaît et même si c'est différent des autres. Il faut franchir cette étape qui peut sembler difficile, mais qui purifie l'âme et qui fait circuler une meilleure énergie émotionnelle, afin de rallumer peu à peu la flamme intérieure en vous.
Prenez note : on regrette rarement dans vingt ans les choses qu'on a faite, on a tendance à regretter de ne pas avoir fait. Libéré votre esprits et préoccupé vous de vous pour évité des regrets.
Ce qui m'as fortement aidé : Écrire ce que j'aime et ce que je n'aimais pas. J'ai écris ce que j'avais envie dans mon future, j'ai beaucoup écris sur mes blessûres du passé. J'ai lu beaucoup, j'ai étudié la méditation etc.
( un livre que j'ai adoré : lâcher prise )
SR