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Borderline. À travers le voyage de ma réalité.
Borderline. À travers le voyage de ma réalité.
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9 février 2020

Chewing-gum

 

 

J'avais mal à mâcher, mais j'arrêtais pas.
Je continuais juqu'à temps que goûte plus et même à ça, je continuais en espérant que sa continuisse de goûter. C'était pas nécessairement un goût que j'aimais, mais je sentais le besoin dans manger. J'avais tellement mal intérieurement que c'était mon seul moyen pour moins souffrir. C'était comme mettre du froid sur une pousse de dent pour un bébé de six mois. Moi, j'étais une '' mangueuse de cerveaux ''. Quand j'étais plus jeune, c'étais à mes parents... J'étais toujours furieuse, je me sentais toujours imcomprise. J'étais turbulante, pas reconnaissante, je leurs faisait du mal. J'étais arrogante et c'étais dû à plusieurs mauvaises situations qui c'était passé durant l'enfance, dû à la séparation de mes parents, l'abandon de ma mère. Dès la maternelle j'étais une petite fille de cinq ans qui voulais agir en grande de quinze. Je défiais les règlements. Jusqu'à l'âge de quinze, j'étais une adolecente qui se faisais intimider. Je souffrais d'anxiété, mauvaises confiance en moi et de carence affectifs. J'ai eu une première relation amoureuse où je m'y suis rapidement attachée. Il était plus âgé que moi. C'est là où, j'ai vite compris que sa faisais du bien de se sentir '' aimer '', mais j'ai aussi vite compris que sa faisais mal d'être attaché à un coeur et de devoir vivre encore de l'abandon. J'ai été consulter vers cet âge et soins de santé mentale et c'est là qu'on m'a appris que je souffrais de la peur d'attachements, de carence, de le trouble de la personnalité limite (TPL). Des expériences pénibles vécues durant l'enfance : par exemple, de la négligence, de psychologique, une séparation. J'avais un tempérament impulsif, une grande sensibilité aux émotions, présente depuis ma naissance. J'étais jeune et j'avais aucune intention d'aimer l'école. Je pensais pas à mon future, tout se qui m'importais c'étais la 10.1 Budweizer dans les parc avec des amis. J'étais pas bien, je le démontrais pas, tout se que je voulais c'était d'être comprise. J'étais hypersensible, j'avais généralement tendance à rejeter l'entière responsabilité de mes sentiments d'incompréhensions vers mon entourage. Le goût dans ma bouche était parfois très amer. Amer, à cause du le regret de faire du mal au gens que j'aimais. Oh oui, j'avais beaucoup de gens que j'aimais. Il m'aimais tu autant que je pouvais les aimés ? J'aimais beaucoup, mais qui m'aimais réellemet alors, que le 3/4 du temps j'étais même pas moi-même. Comment j'ai été capable de gèrer mon mal intérieur? enfainte, j'ai utilisé une façon tellement désastreuse qu'une personne qui fait sa mériterais une fin-de-semaine en arrière des barreaux, même si dans mon cas, mon coeur l'étais et mon corps était à l'extérieur. La plupart des experts affirment qu'il est tout à fait sain et nécessaire d'exprimer ses émotions. Cependant, il existe aussi des situations où il vaudrait mieux les cacher. Deux alternatives s'offrais alors à moi : soit j'acceptais d'en devenir prisonnière, soit je prennais la décision de me battre pour les contrôler.
 
J'ai décidé après multiple réflexions et le fait d'également avoir maturée de prendre le dessu et d'avoir été consulté. J'ai eu trop longtemps eu peur de l'attachements ou même trop souvent ne pas avoir été moi-même alors, j'ai fait des fausses promesses, j'ai blessé et j'ai été très blessé. J'ai compris que faire du mal au gens que nous aimons n'est pas la solution. J'ai compris que espérer tomber amoureuse ou rendre les hommes amoureux de nous ne l'étais pas non plus. Personne ne devrait être entouré de gens négatifs et encore moins celle qui sont atteint de maladie mentale. Il était important pour moi, d'être entouré de gens positifs, aimable et vraie. J'ai tassé les gens toxiques et je me suis tassé moi-même, j'avais des ennemies intérieurs. Je me suis entouré de gens que j'admirais ! J'ai évité de me comparer au autres. Je me suis concentré sur ma propre. J'ai pris mes propres décisions, mes choix ceux que je croyais le mieux pour moi. J'ai déménagé loin des gens qui m'ont blessé.
Aujourd'hui, Je ne mentirai pas, je fait des changements chaque jours pour que ma vie en sois ma propre histoire, celle donc j'apprécie à chacun de mes réveils. Je fait des thérapies, j'écris beaucoup, mon entourage est petit, mais exptionnelle. J'éssaie d'être le plus positive que possible. Ma réussite, c'est que je n'abandonne pas. Je suis fière de moi et soyez fière de vous aussi.
RS
2020
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